DECOUVREZ LA FILIERE PISCICOLE ET LE METIER DE PISCICULTEUR LORS DES PORTES OUVERTES DE L’EXPLOITATION DE BENOÎT LE 18 MARS À MÉZIÈRE EN BRENNE (36)
Les BTSA préparent à la conduite d’une exploitation agricole ou forment des spécialistes dans différents domaines. Ils sont accessibles sur dossier en 2 ans après le bac, au lycée ou en apprentissage. Les BTSA visent une insertion professionnelle directe. Ils permettent aussi une poursuite d’études, notamment en licence pro (en 1 an).
Le technicien supérieur horticole peut exercer en tant que chef d’exploitation ou responsable de culture, chef d’équipe, conducteur de travaux, dans une exploitation horticole. Il peut aussi être conseiller ou technicien d’expérimentation dans des structures de conseil et de développement.
Sa formation le prépare à la gestion d’une exploitation horticole, de la mise en oeuvre de productions en pleine terre ou sous abri à la mise en marché. Pour la conduite des cultures, il sait choisir les variétés adaptées, prendre en compte l’état du sol, établir un calendrier de cultures et prévoir les besoins en main d’oeuvre et en matériel. L’ensemble de ses connaissances doivent lui permettre faire de bons choix technico-économiques tenant compte aussi du respect de l’environnement.
Le titulaire du BTSA ACSE possède une bonne connaissance de l’environnement économique, social et juridique des exploitations agricoles, ainsi que de solides compétences en techniques comptables. Il a également reçu une formation en agronomie (productions végétales et animales, maîtrise de l’eau).
Ce BTSA forme les étudiants à la gestion d’une exploitation agricole avec un élevage. L’étudiant apprend la conduite d’élevage sous tous ses aspects : qualité de l’alimentation, croissance des animaux, reproduction, manipulations et interventions sur les animaux, surveillance sanitaire, bien-être animal, adaptation des bâtiments… Sa formation porte aussi sur le raisonnement et la mise en place de cultures destinées à l’élevage. Enfin, l’étudiant est formé à la réalisation de diagnostics qui prennent en compte à la fois l’aspect technique, financier, réglementaire et environnemental de l’activité d’élevage. Il est capable de faire des choix ou de formuler des conseils pour adapter la production au marché et aux contraintes de l’exploitation.
Il peut travailler dans une exploitation en tant qu’éleveur indépendant ou comme salarié (chef d’équipe, conducteur de travaux, responsable d’élevage), ou comme conseiller technique ou commercial dans une coopérative agricole, une entreprise spécialisée dans l’alimentation animale ou l’agrofourniture ou dans une chambre d’agriculture.
Le technicien supérieur en GDEA est un spécialiste des équipements et des installations de production agricole. Il connaît les matériels mécaniques classiques pour la culture ou l’élevage (appareils de traction, véhicules agricoles, installations de traite…) ainsi que les bâtiments actuels d’élevage, les serres et les dispositifs de conditionnement d’air et de chauffage. Il maîtrise l’utilisation des équipements d’entretien de l’espace rural et des machines et matériels de transformation des produits agricoles.
Ce secteur professionnel présente de nombreuses offres d’emploi non pourvues.
Le titulaire du BTSA peut travailler chez un constructeur de matériel en tant que technico-commercial. Il est alors chargé des relations entre l’entreprise et les concessionnaires, des dépôts de matériel, de la démonstration des nouveaux produits… Il peut également exercer les fonctions de gestionnaire de parc de matériel, d’inspecteur technique ou de conseiller dans une entreprise de travaux agricoles ou une coopérative d’utilisation de matériel agricole. Des postes de magasinier, responsable SAV, chef d’atelier ou technicien de bureau d’étude sont aussi envisageables.
Une part importante de la formation est consacrée à la connaissance technique des agroéquipements et à la maîtrise du langage du technicien (dessins, graphiques). A cela s’ajoutent des enseignements en droit, législation, économie, gestion et négociation commerciale.
Enfin, la France étant le 2ème importateur et le 5ème exportateur mondial de matériels agricoles, de nombreux professionnels seront amenés à travailler sur le marché international.
Le BTSA agronomie : productions végétales mène à deux types de fonctions : la production agricole et le conseil (en chambre d’agriculture, groupement de producteurs…). Ce diplôme permet aussi de participer à des travaux de recherche, d’organiser un laboratoire ou une petite unité d’expérimentation, ou d’exercer une activité commerciale dans l’industrie ou dans une coopérative par exemple.
L’enseignement professionnel met l’accent les compétences spécifiques à la production végétale (hors horticulture et viticulture) dans une optique d’amélioration de la production et de respect de l’environnement : raisonnement des choix de cultures en fonction du sol, du climat, du contexte économique sur la pratique des cultures : plantation, semis, soins divers, utilisation du matériel, biologie végétale, physiologie de la reproduction. Il porte aussi sur l’économie et la politique des productions végétales, le fonctionnement et le droit de l’entreprise.
Le technicien supérieur en agronomie productions végétales peut occuper un emploi de chef d’exploitation, travailler comme salarié dans une exploitation comme chef d’équipe, conducteur de travaux, chef de culture, responsable d’approvisionnement, ou dans les métiers touchant au contrôle à l’expérimentation comme technico-commercial…
Le maraicher produit des légumes, des fruits, des fines herbes et des fleurs à usage alimentaire, sous serre ou en plein champs. En véritable chef d’entreprise, maraîcher comme horticulteur doivent également assurer le suivi administratif de leur ferme et définir les orientations stratégiques de leur exploitation en prenant en compte tous les éléments de leur environnement.
L’apiculteur travaille au quotidien avec les abeilles. Ces insectes jouent un rôle indispensable à l’équilibre de notre éco-système. Équipé de sa combinaison, d’un masque et de gants, d’un enfumoir, l’apiculteur élève des abeilles en vue de commercialiser les produits de la ruche : miel, mais aussi pollen, gelée royale, cire et autres produits dérivés.
L’arboriculteur produit des fruits sur son verger. Ce métier requiert une grande capacité d’adaptation et une forte polyvalence. En véritable chef d’entreprise, l’arboriculteur doit également assurer le suivi technique de son verger et définir les orientations stratégiques de son exploitation en prenant en compte tous les éléments de son environnement de travail. Il travaille également avec une équipe de salariés comptant quelques personnes à plusieurs dizaines en fonction des saisons.
L’éleveur bovin veille à la bonne santé de ses animaux, à leur bien-être, à leur développement et à leur commercialisation. En plus d’une connaissance pointue des animaux (comportement, alimentation, anatomie, reproduction…), il possède des compétences en gestion et en commerce pour assurer la rentabilité de son exploitation.
L’éleveur caprin est avant tout un chef d’entreprise polyvalent. Il gère au quotidien son exploitation et définit sa stratégie d’entreprise : objectifs de production, raisonnement des investissements, gestion du troupeau, des cultures et des bâtiments, relations avec les fournisseurs et les clients acheteurs.
L’horticulteur produit des fleurs ornementales. Le pépiniériste produit quant à lui des jeunes plants. Ces métiers requièrent une grande capacité d’adaptation et une forte polyvalence. En véritable chef d’entreprise, horticulteur comme pépiniériste doivent également assurer le suivi administratif de leur ferme et définir les orientations stratégiques de leur exploitation en prenant en compte tous les éléments de leur environnement.
Le chef d’exploitation laitière ou éleveur laitier élève des vaches afin de produire les différents produits laitier que nous trouvons dans les magasins et sur les marchés. Il fixe des objectifs de production et, pour les atteindre, gère un troupeau, des cultures (prairies), des bâtiments (étable, salle de traite, grange), des machines (trayeuses, tracteurs, faucheuses) des fournisseurs et des clients acheteurs.
L’éleveur avicole élève des volailles pour leur chair. La reproduction et la naissance des animaux peuvent être déléguées à une autre entreprise. En véritable chef d’entreprise, l’éleveur avicole doit également assurer le suivi administratif de son exploitation.
L’éleveur porcin veille à la bonne santé de ses animaux, à leur bien-être, à leur développement et à leur commercialisation. En plus d’une connaissance pointue des animaux (comportement, alimentation, anatomie, reproduction…), il possède des compétences en gestion et en commerce pour assurer la rentabilité de son exploitation.
Le viticulteur produit du raisin à partir de ses vignes. Il peut vinifier son raisin (on parle alors de vigneron ou viniculteur) ou le faire vinifier par un professionnel (une cave coopérative par exemple). Ce métier de passion requiert une grande capacité d’adaptation et une forte polyvalence. En véritable chef d’entreprise, le viticulteur doit également assurer le suivi administratif de son exploitation et définir ses orientations stratégiques en prenant en compte tous les éléments de son environnement de travail.
L’éleveur ovin veille à la bonne santé de ses animaux, à leur bien-être, à leur développement et à leur commercialisation. En plus d’une connaissance pointue des animaux (comportement, alimentation, anatomie, reproduction…), l’éleveur possède des compétences en gestion et en commerce, pour assurer la rentabilité de son exploitation.
Sur son exploitation, le céréalier produit du blé dur pour la fabrication de pâtes, du blé tendre pour la farine meunière, du colza et du tournesol pour l’huile, du maïs et bien d’autres céréales ou protéagineux. Le céréalier, comme tout chef d’entreprise, est chargé de l’organisation du travail, des achats d’équipements, des choix financiers et commerciaux.
L’éleveur avicole élève des volailles pour leurs œufs. La reproduction et la naissance des animaux peuvent être déléguées à une autre entreprise. En véritable chef d’entreprise, l’éleveur avicole doit également assurer le suivi administratif de son exploitation.
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